Si on s’imagine bien sur une plage de sable blanc, il est clair qu’il n’est pas possible de trouver sympathique d’en manger les grains. Du coup il y a plusieurs lectures à avoir de ce thème qui aborde des sujets biens précis de la vie mais aussi bien différents.

Si on considère le fait de voir une plage, bien entendu on se dit à première vue que l’on désir prendre des vacances mais si le sable nous brûle c’est que l’on prend conscience qu’on en a pas les moyens. Donc ce qui compte c’est notre rapport à la matière qui si il est positif évoque un fantasme, alors que si il est négatif, c’est que l’on sait qu’on est encore loin de la réalisation de son but.

Du sable dans la machine

Quand on voit de minuscules grains boucher une arrivée d’eau, quand on voit un rouage grippé, quand on voit des grands dans la bouche et les yeux de quelqu’un c’est que l’on prend conscience que de petits détails peuvent arrêter tout un processus important. On sait que quelque chose de fort est en train de se produire dans nos vies mais on n’arrive pas à tout penser parfaitement pour que les choses se passent comme il faut. Donc une partie de nous même nous dit qu’il faut travailler plus sur les détails. Une erreur est de penser que rien n’est de notre faute car si les impondérables existent, ils ne sont pas la norme.

Ne plus pouvoir avancer en voiture ou a pied

Sables mouvants ou désert dans lequel les roues se plantent, c’est pareil, on se dit que les éléments sont contre nous et qu’ils nous figent sur place. Ici, ce qui est intéressant c’est de savoir ce que l’on cherche à fuir car c’est ce qui arrive le plus souvent, on est pris par l’urgence et on est arrêté sur place ou fortement ralentit par du sable. Donc l’important est de savoir pourquoi on se met en mouvement et le plus souvent c’est le symbole d’une interrogation personnelle sur sa propre vie, c’est assez rarement un point particulier.