C’est une personne qui n’aime pas faire ce qu’on lui demande de faire, qui ne veut pas aider et qui ne va jamais, ou rarement provoquer une bagarre. Pourtant ce genre de d’individu ne va pas faire ce qu’il faut pour que les choses aillent pour le mieux, non, au contraire, il ara tendance à mettre de l’huile sur le feu, il ne répondra jamais de manière positive à un problème. Ces gens peuvent avoir un intérêt certain pour les managers car ils sont malléables et forcent très bien les autres à travailler par la contrainte. Ces gens qui peuvent semer une forme de terreur peuvent s’avérer très utiles pour certains responsables des ressources humaines eux mêmes légèrement stupides. En effet, il existe de nombreux responsables appliquant des techniques sévère à l’américaine, qui aiment mettent la pression ou qui sont juste en dehors des réalités humaines et qui considères les passifs-agressifs comme des instruments utiles. C’est pour cette raison qu’il faudra y regarder à deux fois avant de se tourner vers eux pour demander de l’aide car si ils sont à l’origine de ce recrutement ils pourront alors nous avoir dans leur collimateur juste parce que nous avons osé sortir du lot.

Le problème de l’agressivité passive

Ces gens savent très bien jouer double jeu et mentir. Il cachent en effet leur manque de courage derrière la méchanceté et la délation. Ce genre de personne serait plus adepte du mensonge à voix basse que du contact direct en face à face. Elles prennent des chemins détournés pour arriver à leurs fins, leur technique c’est de dire non à tout c’est pour cela que l’on parle de passivité.

Que faire?

Une chose est sûre c’est qu’on risque de perdre son temps et sa santé à essayer de les changer. Ce qu’il faut c’est réduire leur emprise sur nous. Il ne faut surtout pas ramener trop ces gens là à la maison en en parlant à ses proches en y pensant trop souvent. Ce qu’il faut c’est tout faire pour faire le vide dans sa tête et prêter le moins d’attention possible aux passifs-agressifs comme à tout ceux qui nous font du mal au travail. Le ait de croire qu’il changerons est une utopie.

Ce qu’il faut faire c’est donc se rendre invisible à leurs yeux et ne surtout pas leur donner des raisons de nous salir de leur violence. Il faut donc tout faire pour les éviter et leur parler le moins possible. Si on est contraint de les voir, il faut employer des phrases courtes, oui, non, merci. Si ils nous demandent quelque chose, parlementer, négocier est une erreur qui peut nous emmener trop loin alors mieux vaut faire comme eux et refuser ce qu’ils nous demandent dans la mesure du possible.

Il ne faut pas parler aux fous autrement que comme à des fous. Leur parler avec compassion, comme si on les plaignait d’avoir une grande maladie peut les déstabiliser. Il faut semer le doute dans la tête des autres membres du groupe pour qu’ils aient des doutes sur lui mais attention, si les gens font des choses inimaginables lorsqu’ils sont en groupe, si ils n’ont plus de limites, il est très difficile de faire bouger le premier. Ce qui se passe c’est que les hommes sont des moutons, donc si on arrive à avoir tout le monde de son côté c’est bien joli mais le plus dur c’est de faire bouger ce petit monde. En effet, tout le monde veut la révolution mais personne ne se bouscule pour la faire et personne ne veut prendre le risque de se lever le premier. Donc comme il ne faut compter que sur la passivité des autres, mieux vaut se protéger soi-même et tout faire pour se forger une armure qui nous protégera des agressions.

En résumé, penser qu’il est possible d’agir sur la bêtise est une grave erreur. Il faut donc s’adapter et se protéger du mieux possible.
Pas de grandes phrases, pas de tentative de compréhension, pas zèle. Rien ne vaut de se ruiner la santé pour une personne qui n’en vaut pas la peine.