La nuit n’est pas juste le moment où l’on rêve mais peut aussi être une composante essentielle du rêve. Nous avons tous une vision de ce moment et il n’est que rarement synonyme de gaieté. Une grande part des agressions, une grande part des problèmes arrivent la nuit et cela reste dans les têtes.

Une mauvaise image

Jack l’éventreur, agressions en tous genre, les exemples ne manquent pas pour exprimer les choses qui peuvent arriver la nuit. Pourtant c’est rarement de cela qu’on rêve, la plupart du temps ce moment réveille des peurs anciennes, des peurs parfois même irrationnelles.
Ce qui se passe souvent c’est une sensation de froid et de crainte, car il est rare que l’on soit agressé mais la peur de l’inconnu est là. Et c’est cela le plus important dans ici, la peur de ce qui pourrait se passer.

Quand il y a passage à l’acte

Le fait de se faire agresser la nuit est forcément une chose qui amplifie le phénomène mais ce qui est amplifié en réalité c’est le sentiment de culpabilité. Ce qui se passe c’est que l’on se demande pourquoi on est sorti la nuit, on commence à se poser des questions mais en réalité il ne faut pas, il faut se mettre dans la tête que l’on est pas responsable du fait de se faire agresser. La nuit est un facteur aggravant car il rappelle ces idées de peurs que nous avons vu plus tôt mais ce ne doit pas être une source d’auto-culpabilisation.

Relativiser

Ces craintes sont le plus souvent irrationnelles et enfantines, du coup tout se passe bien quand on se réveille mais il est vrai que certains rêves ce genre, surtout quand ils sont récurrents, peuvent souligner un traumatisme plus ancien.